Thursday, January 29, 2015

L’Académie et entourages


1) Φιλολoγικά/Philologica : Les âges des ancêtres DU Robespierre - et d'autres! ; 2) Sur les Dévanceurs de Marie-Antoinette ; 3) Et les ancêtres du roi martyr? Regardons aussi la parité entre les sexes ... ou même le privilège féminin ; 4) musicalia : Les Musiciens ; 5) Recipes from Home and Abroad : Les artistes (peintres, graveurs ...) - avec un peu de patrons ou mécènes et d'autres connexes ; 6) New blog on the kid : Chirurgiens et surtout Sage-femmes ; 7) Φιλολoγικά/Philologica : L’Académie et entourages ; 8) Et le Moyen Âge? Hormis royautés ; 9) Moyen Âge, Royautés ; 10) La Lettre A d'une Encyclopédie ; 11) Monge et Jaurès - démographie ; 12) Lesseps fut aussi à La Pérouse

Refaisons un peu de spgk sur la wikipédie:

  • Liste I Fauteil 34 :

    • 1) Honorat de Porchères Laugier, né à Forcalquier, ancienne capitale de la Haute-Provence, le 8 juin 15721, et mort le 26 octobre 16532, est un poète français. Connu surtout pour son sonnet sur les beaux yeux de Gabrielle d'Estrées, il fut l'un des premiers membres de l'Académie française.
    • 2) Paul Pellisson-Fontanier, dit Paul Pellisson, est un homme de lettres français, né à Béziers le 30 octobre 1624 et mort à Versailles le 7 février 1693.
    • 3) François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon, né le 6 août 1651 au château de Fénelon à Sainte-Mondane, mort le 7 janvier 1715 à Cambrai, est un homme d'Église, théologien et écrivain français.
    • 4) Claude Gros de Boze (28 janvier 1680 à Lyon - 10 septembre 1753 à Paris) est un érudit et numismate français.
    • 5) Louis de Bourbon-Condé, prince du sang, abbé de Saint-Germain-des-Prés (1737), comte de Clermont-en-Argonne, né à Versailles le 15 juin 1709 et mort à Paris le 16 juin 1771, est un aristocrate, ecclésiastique et militaire français du XVIIIe siècle.
    • 6) Pierre-Laurent de Belloy, dit Dormont de Belloy, de son vrai nom Pierre-Laurent Buirette, est un comédien et auteur dramatique français, né le 17 novembre 1727 à Saint-Flour et mort le 5 mars 1775 à Paris. Il est connu surtout pour sa tragédie patriotique Le Siège de Calais, qui remporta un énorme succès en 1765. Il mit aussi en scène Bayard et Du Gesclin.
    • 7) Emmanuel-Félicité de Durfort, duc de Duras (19 septembre 1715 - 6 septembre 1789 à Versailles), est un militaire, homme politique et diplomate français, pair et maréchal de France.
    • 8) Dominique Joseph Garat (né le 8 septembre 1749 à Bayonne et mort le 9 décembre 1833 à Bassussary), est un avocat, journaliste, philosophe et homme politique français. Il a été élu à l'Académie française en 1803 ; il en est radié en 1816.
    • 9) Louis-François de Bausset, né à Pondichéry le 14 décembre 1748 et mort le 21 juin 1824 à Paris, est un cardinal et homme de lettres français des XVIIIe et XIXe siècles.
    • 10) Monseigneur Hyacinthe-Louis de Quélen, né à Paris le 8 octobre 1778, et mort à Paris le 31 décembre 1839, est le 125e archevêque de Paris, de 1821 à 1839.
    • 11) Le comte Louis-Mathieu Molé, né le 24 janvier 1781 à Paris et mort le 23 novembre 1855 à Épinay-Champlâtreux, est un homme politique français. Il est ministre de la Justice sous l'Empire, de la Marine et des Colonies sous la Restauration, des Affaires étrangères et président du Conseil, de 1836 à 1839, sous la monarchie de Juillet.
    • [12) Le comte Frédéric Alfred Pierre de Falloux du Coudray, né à Angers (Maine-et-Loire) le 8 mai 18111 et mort à Angers le 6 janvier 1886, est un historien et homme politique français.]


  • Liste II Puisque 34 :2=17, prenons fauteuil 17 aussi :

    • [1) François de Cauvigny, sieur de Colomby1, né à Caen vers 1588 et mort en 1648, est un poète français, conseiller du roi et « orateur du roi pour les discours d'État ».]
    • 2) François L'Hermite, sieur du Soliers, dit Tristan L'Hermite, né en 1601 à Janaillat (aujourd'hui département de la Creuse) au château de Soliers, dans la Marche, et mort à Paris le 7 septembre 1655, est un poète et dramaturge français. Il occupa le fauteuil 17 de l'Académie française de 1649 à 1655.
    • 3) Hippolyte-Jules Pilet de La Mesnardière, né au Loroux-Bottereau en 1610 et mort à Paris le 4 juin 1663, est un médecin, poète et auteur dramatique français.
    • 4) François Honorat de Beauvilliers, duc de Saint-Aignan, né le 30 octobre 1607 à Paris où il est mort le 16 juin 1687, est un homme militaire et administrateur français, honoré en son temps pour avoir été un grand protecteur des arts et des lettres.
    • 5) François-Timoléon de Choisy, né le 16 août 1644 à Paris où il est mort le 2 octobre 1724, est un abbé et homme de lettres français.
    • 6) Antoine Portail, né en 1675 et mort le 3 mai 1736, est un magistrat français, premier président du Parlement de Paris.
    • 7) Pierre-Claude Nivelle de La Chaussée, né le 14 février 1692 à Paris où il est mort le 14 mars 1754 est un auteur dramatique français, créateur d'un genre théâtral : la comédie larmoyante.
    • 8) Jean-Pierre de Bougainville, né à Paris le 1er décembre 1722 et mort à Loches le 22 juin 1763, est un homme de lettres français, frère aîné de l'explorateur Louis Antoine de Bougainville.
    • 9) Jean-François Marmontel, né à Bort-les-Orgues le 11 juillet 1723 et mort à Habloville (Saint-Aubin-sur-Gaillon) le 31 décembre 1799 est un encyclopédiste, historien, conteur, romancier, grammairien et poète, dramaturge et philosophe français. Proche de Voltaire et ennemi de Rousseau, il connut une grande notoriété à la cour de France et dans toute l’Europe. [Note du compilateur : Quelle horreur !]
    • 10) Jean-Pierre Louis, marquis de Fontanes, communément appelé Louis de Fontanes, est un écrivain français, né le 6 mars 1757 à Niort et mort le 17 mars 1821. Poète et homme d'action, Louis de Fontanes fut tout à la fois l'héritier du goût de Racine et de Fénelon contre toute théorisation littéraire, l'admirateur du bon sens politique d'Henri IV et de George Washington, qui « conserve et perfectionne », contre toute « audace qui détruit », et un bon vivant doué des manières et de la galanterie de l'ancienne France.
    • 11) Abel-François Villemain, né le 9 juin 1790 à Paris où il est mort le 8 mai 1870, est un écrivain, universitaire et homme politique français, qui a notamment été professeur à la Sorbonne et à l'Ecole normale supérieure, et ministre de l'Instruction publique de 1839 à 1845.
    • [12) Émile Maximilien Paul Littré, né à Paris le 1er février 1801 et mort à Paris le 2 juin 1881, est un lexicographe, philosophe et homme politique français, surtout connu pour son Dictionnaire de la langue française, communément appelé « le Littré ».]


  • Statistique pour les premiers deux listes

    • Fauteil 34 : 1) 80 2) 69 3) 64 4) 73 5) 62 6) 48 7) 74 8) 84 9) 75 10) 61 11) 74
    • Fauteuil 17 : 2) 54 3) 53 4) 79 5) 80 6) 61 7) 62 8) 41 9) 76 10) 64 11) 80
    • Les deux listes : 41 48 53 54 61 61 62 62 64 64 69 73 74 74 75 76 79 80 80 80 84
    • Minimum 41, maximum 84. Quartile basse 61, médiane 69, quartile haute 76.
    • Moyenne … 1314 : 21 = L (131 – 105 = 26) X (26 – 21 = 5, 54) II (54 – 42 = 12) … 62/63.


  • Liste III, Abbés de Cluny, puisque Richelieu y était, voir liste IV, ceux qui ont un article :

    • [1) Abbé Bernon (environ 850-13 janvier 927), premier abbé de Cluny. Il devient moine vers 880 au monastère bénédictin de Saint-Martin d'Autun.]
    • 2) St. Odon de Cluny ou Eudes de Cluny, né vers 878/879 ou 882 près de Tours et mort à Tours le 18 novembre 942, était un moine bénédictin qui fut de 926 à 942 le second abbé de Cluny, successeur de Bernon, et joua ainsi un rôle éminent dans le développement de l'ordre de Cluny.
    • 3) Aimar de Cluny, né en 910, fut le 3e abbé de Cluny de l'an 942 jusqu'à sa démission en l'an 954, onze ans avant sa mort le 5 octobre 965. Il fut nommé à la succession par son prédécesseur Odon de Cluny, duquel il poursuivit l'œuvre. Devenu aveugle en 948, il nomme comme coadjuteur Mayeul, qui dirigera officiellement Cluny à la démission d'Aimar.
    • 4) Saint Mayeul ou Maïeul de Cluny (ou de Forcalquier) est né vers 910 à Valensole, en Provence orientale, et mort en 994 à Souvigny. Il était le quatrième abbé de Cluny. Pendant ses quarante années d'abbatiat, ses liens avec le Saint-Empire favorisèrent l'extension de l'Ecclesia Cluniacensis vers l'est. Il fut certainement l'un des conseillers écoutés d'Hugues Capet, duc puis roi des Francs, ce qui lui permit de réformer des monastères et d'y placer des abbés réguliers. Enfin, il poursuivit les relations qu'Odon avait nouées avec la papauté. Le destin de Mayeul est exceptionnel. Il fut spontanément reconnu comme saint immédiatement après sa mort, et son culte, qui constitua le premier grand culte abbatial clunisien, fut l'un des plus importants du Moyen Âge et persista au Puy et à Souvigny jusqu'à la Révolution. Il est fêté le 11 mai.
    • 5) Saint Odilon de Cluny (parfois connu comme Odilon de Mercœur), né vers 962 au château de Mercœur près de Saint-Cirgues dans la Haute-Loire (France) et décédé le 31 décembre 1048 au prieuré de Souvigny (France) fut le cinquième abbé de Cluny. Sous son abbatiat se développe un 'ordre clunisien' qui acquiert une grande influence religieuse et puissance politique. Il est enterré à Souvigny.
    • 6) Saint Hugues de Cluny, né le 13 mai 1024 à Semur-en-Brionnais et mort le 28 avril 1109 à Cluny, parfois appelé Hugues le Grand ou Hugues de Semur, est le sixième abbé de Cluny, de 1049 à 1109. Canonisé par l'Église, il est fêté le 29 avril.
    • [7) Pons de Melgueil, mort en 1126, est le septième abbé de Cluny. Issu d'une famille de la haute aristocratie languedocienne, les comtes de Melgueil, il est élu abbé en 1109, à la suite d'Hugues de Cluny. Il se signale par son action diplomatique, prenant parti pour la papauté dans la querelle des Investitures. En 1122, il démissionne ou est déposé pour des raisons qui ne font pas l'unanimité parmi les historiens. Après avoir tenté de reprendre l'abbatiat en 1126, Pons meurt schismatique et excommunié.]
    • … 9) Pierre de Montboissier dit Pierre le Vénérable était le neuvième abbé de Cluny dès 1122. Il est né entre 1092 et 1094 et mort le 25 décembre 1156. Son activité intellectuelle fait de lui un représentant de la renaissance du XIIe siècle. … Il fait traduire le Coran en latin, Lex Mahumet pseudoprophete. Connu comme polémiste, il rédigera ensuite des traités pour réfuter les doctrines israélites et musulmanes. En effet, il recommande d'établir des débats argumentés avec les théologiens des autres religions, plutôt que des Croisades. … Considéré par l'historiographie du XXe siècle comme le dernier des grands abbés de Cluny, il succède à son oncle Hugues II de Semur. Il combat également l’hérésie de Pierre de Bruys. … Il est aussi l'auteur d'un traité contre les juifs : Aduersus Iudœorum inueteratam duritiem. Selon Dominique Iogna-Prat, Pierre le Vénérable est un « représentant d'un antijudaïsme radical »
    • … [16) Thibaud, aussi Thibaud d'Ostie, (né en France et mort le 4 novembre 1188 à Rome) est un cardinal français du XIIe siècle. Il est membre de l'ordre de Cluny. Thibaud est abbé de Saint-Basle à Reims, administrateur de l'abbaye de Fleury et abbé de l'abbaye de Cluny.] … [33) Pierre de Châtelus ou de Châtelux est un ecclésiastique français. Proche du Saint-Siège, il fut abbé de nombreuses abbayes dans toute la France. Abbé de Saint-Serge d'Angers de 1316 à 1321, il est nommé, par décision de Jean XXII, abbé de Montolieu. En 1322, il devient même abbé de Cluny. C'était en outre un parent d'Emeric de Châtelus, évêque de Ravenne et de Chartres avant qu'il ne devienne cardinal en 1342.]
    • … 35) Hugues VII Roger (1293-21 octobre 1363) fils de Guillaume Roger et Guillemette de Mestre, frère de Clément VI et de Guillaume II Roger, oncle de Grégoire XI, cardinal-prêtre au titre de Saint-Laurent in Damaso, dit le cardinal de Tulle.
    • … [37) Androin de la Roche (né à Châtillon en Bourgogne vers 1300/1310 et mort à Viterbe, le 29 octobre 1363) est un cardinal français du XIVe siècle. Il est membre de l'ordre des bénédictins.]
    • … [43) Raymond de Cadoëne, né vers 1350 peut-être à Gabriac (Gévaudan) et mort en 1416, était un ecclésiastique français, qui fut grand prieur puis abbé de l'abbaye de Cluny.]
    • … 46) Jean III de Bourbon, né en 1413 et mort le 2 novembre 1485 au prieuré conventionnel de Saint-Rambert, est un évêque français du XVe siècle. Il est le fils naturel de Jean Ier de Bourbon, duc de Bourbon et d'Auvergne.
    • [47) Jacques d'Amboise, né entre 1440 et 1450 et mort en 1516, était un dignitaire religieux et un mécène français. Il fut abbé de Jumièges, de Cluny et de Saint-Alyre de Clermont, ainsi qu'évêque de Clermont.]
    • … [50) Aymar Gouffier de Boisy, décédé le 9 octobre 1528, est un évêque d'Albi.]
    • … [52) Jacques Leroy, mort en 1572 à Paris, est un prélat français du XVIe siècle. Il est issu des seigneurs de Chavigny. Il est le fils de René Leroy, conseiller et chambelan de Louis XI, et de Madeleine Gouffier. Leroy est bénédictin et abbé de Déols, de Villeloin, de Saint-Florent de Saumur et de Cluny. En 1537, il est nommé archevêque de Bourges en 1537. De son temps la ville est prise et pillée en 1562 par les hugenots. Jean Niquet, abbé de saint Gildase, fonde le collège des jésuites, qui est uni à l'université, par les soins de Jacques de Nuchesc, et d'Edmond Mérille, professeurs en droit.]
    • 53) Jean de Lorraine (né à Bar-le-Duc le 9 avril 1498 et mort à Neuvy-sur-Loire le 18 mai 1550) est un cardinal français et l'un des favoris les plus intimes du roi François Ier.
    • 54) Charles de Lorraine (né le 17 février 1524 à Joinville et mort le 26 décembre 1574 à Avignon) fut duc de Chevreuse, archevêque de Reims de 1538 à 1574, évêque de Metz de 1550 à 1551. Élevé au cardinalat en 15471, il est d'abord connu comme cardinal de Guise puis cardinal de Lorraine. C'est un homme politique et un intellectuel religieux qui joua un rôle important durant les guerres de religion.
    • … 56) Louis III de Lorraine, cardinal de Guise (né le 22 janvier 1575 - mort le 21 juin 1621, à Saintes, Charente-Maritime), appartenait à la Maison de Guise, branche cadette de la Maison de Lorraine, qui joua un rôle de premier plan dans la vie politique française au XVIe siècle.
    • … [58) = Richelieu !]
    • 59) Armand de Bourbon, prince de Conti, né à Paris le 11 octobre 1629; mort à Pézenas, au château de la Grange-des-Prés, le 21 février 1666. Il était le cadet des trois enfants et le deuxième fils d'Henri II de Bourbon, prince de Condé et de Charlotte Marguerite de Montmorency, le frère de Louis II de Bourbon-Condé, dit le « Grand Condé », et d'Anne Geneviève de Bourbon-Condé, duchesse de Longueville. [Abbé commenditaire, évidemment, représenté dans le monastère même par un grand prieur, comme certains d’autres que je viens de citer.]
    • 60) Jules Raymond Mazarin (Giulio Raimondo Mazzarino, Mazarino, Mazarini, ou Mazzarini, nom dont il francisa peu à peu lui-même l’écriture en Mazarin, mais dont il signe encore Mazarini, à l'italienne, à la fin de sa vie au bas du Traité des Pyrénées), né à Pescina, dans les Abruzzes (aujourd'hui en Italie), le 14 juillet 1602 et mort à Vincennes le 9 mars 1661, mieux connu sous le nom de cardinal Mazarin, fut un diplomate et homme politique, d'abord au service de la Papauté, puis des rois de France Louis XIII et Louis XIV. Il succéda à Richelieu en tant que principal ministre de 1643 à 1661. 61) Rinaldo d'Este (1618 - 30 septembre 1672 à Modène), fut un cardinal italien issu de la Maison d'Este.
    • … 63) Emmanuel-Théodose de La Tour d'Auvergne, cardinal de Bouillon (26 août 1643 - 2 mars 1715) fut d'abord prieur de Turenne et de Paunat, puis nommé abbé de Beaulieu en 1658 dont il se démet en 1664 après avoir réuni l'abbaye avec la congrégation de Saint-Maur. Il devient en 1683 abbé de Cluny et cardinal avec le titre de cardinal-prêtre au titre de San Lorenzo in Panisperna (1670-1676) puis cardinal-évêque d'Albano, de Porto e Santa Rufina puis d'Ostie.
    • 64) Henri-Oswald de La Tour d'Auvergne dit l'« abbé d'Auvergne » puis le « cardinal d'Auvergne », né à Barcy (diocèse d'Anvers) le 5 novembre 1671 et mort le 23 avril 1747 à Paris, est un homme d'Église français des XVIIe et XVIIIe siècles. Il est successivement archevêque de Tours (1719-1721) puis archevêque de Vienne (1721-1745). Il est élevé au cardinalat en 1740.
    • 65) Frédéric-Jérôme, cardinal de La Rochefoucauld de Roye est un prélat français né le 16 juillet 1701 et mort à Paris le 29 avril 1757. Fils de Francois II de La Rochefoucauld de Roye et de sa femme, Catherine-Francoise d'Arpajon, il est destiné à l'Église dès son jeune âge.
    • 66) Dominique de La Rochefoucault-Langeac, cardinal de La Rochefoucauld (Saint-Hilaire-du-Chapouillet, 26 septembre 1712 – Münster, 23 septembre 1800), est un prélat et homme politique français du XVIIIè siècle. Archevêque d'Albi puis de Rouen, primat de Normandie, le cardinal de La Rochefoucauld est élu député aux États généraux de 1789. Il s'oppose à la Révolution et à la constitution, refuse de prêter le serment constitutionnel, et émigre en 1792. – Commentaire du compilateur : Le dernier sous l’Ancien Régime. Notons qu’il meurt à Münster. Lui-même s’est opposé à la Révolution française, et un évêque de Münster va être le prélat Catholique le plus redouté par les Nazis pendant cette future époque là.


  • Statistique pour liste III, quatorze retenus comme très bien documentés :
    • 868 : 14 = L (86 – 70 = 16) X (16 – 14 = 2, 28) II (28 =28), Moyenne 62 années.
    • 36 – 52 – 55/59 – 72 – 88


  • Liste IV, inséré en liste I, sous chacque nom de cette première liste, des récits et ensuite des noms dedans :
    • 1)Honorat de Porchères Laugier

      « Fils d'un avocat au parlement, il conserva le titre « seigneur de Porchères » dont il avait hérité. Cela lui valut d'être souvent confondu avec un autre académicien, François d'Arbaud de Porchères, avec lequel il n'avait aucun lien de parenté. « Chacun d'eux traitait l'autre de bâtard, écrit Tallement des Réaux, et soutenait qu'il n'était pas de la maison de Porchères. » Ce quiproquo venait du fait qu'un aïeul de François d'Arbaud de Porchères, nommé Jacques d'Arbaud, avait acheté le fief de Porchères à un aïeul d'Honorat de Porchères Laugier, nommé Esprit Laugier. »


      • a) François d'Arbaud de Porchères, né à Brignoles (actuel Var) le 20 décembre 1590 et mort en Bourgogne le 5 mai 1640, est un poète français. (fauteuil 19)
      • b) Gédéon Tallemant des Réaux [talmɑ̃dereo ], né le 2 octobre 1619 à La Rochelle, mort le 10 novembre 1692 à Paris, est un écrivain, gazetier et poète français connu pour ses Historiettes, un recueil de courtes biographies de ses contemporains.


      « Ses poésies galantes, insérées dans les recueils du temps, le firent remarquer par Valentin Conrart et son cercle d'amis, qui l'invitèrent à faire partie de l'académie qu'ils formaient. Le 4 décembre 1634, il fut reçu dans la toute nouvelle Académie française, où il prononça peu après le huitième discours, À la louange de l'Académie, de son Protecteur et de ceux qui la composent, suivi du treizième, Des différences et des conformités qui sont entre l'amour et l'amitié. C'est à la suite de son admission que le cardinal Richelieu, qui se méfiait de lui, imposa à l'Académie deux nouveaux réglements : les futurs académiciens ne pourraient être nommés sans son consentement et seraient désormais élus par billets et non plus à haute voix. »


      • c) Valentin Conrart, né à Paris en 1603 où il est mort le 23 septembre 1675, est un homme de lettres français. Initiateur du projet de l’Académie française, il en est élu secrétaire perpétuel en 1635.
      • d) Armand Jean du Plessis de Richelieu, dit le cardinal de Richelieu, cardinal-duc de Richelieu et duc de Fronsac, est un ecclésiastique et homme d'État, né le 9 septembre 1585 à Paris et mort le 4 décembre 1642 dans cette même ville. Pair de France, il a été le principal ministre du roi Louis XIII. Il était abbé de Cluny. Voir liste III.


    • 2) Paul Pellisson-Fontanier, dit Paul Pellisson

      « Né dans une famille protestante, il étudie le droit à Toulouse et exerce à Castres. Il est présenté aux membres de l’Académie française par son coreligionnaire Valentin Conrart et entreprend d’en écrire la première biographie : Histoire de l’Académie française depuis son établissement jusqu’en 1652. Après qu’il en a commencé la lecture, celle-ci décide de lui accorder le droit – unique dans l’histoire de l’Académie – d’assister à ses séances avec tous les droits d’un académicien en attendant son élection au prochain siège vacant, ce qu’elle fait le 17 novembre 1653. Six ans plus tard, à l’échec de ses efforts contre la candidature du frère aîné de Boileau-Despréaux, Gilles Boileau, qui avait critiqué ses amis Madeleine de Scudéry et Ménage, il cesse sa fréquentation pour n’y retourner qu’à la mort de Gilles Boileau. »


      • e) Nicolas Boileau, dit aussi Boileau-Despréaux, ou encore le « législateur du Parnasse » (né le 1er novembre 1636 à Paris1,2 et mort le 13 mars 1711 à Paris2, est un poète, écrivain et critique français3.
      • f) Gilles Boileau, né à Paris le 22 octobre 1631 et mort le 10 mars 1669, est un avocat, poète et traducteur français, frère aîné du célèbre Nicolas.
      • g) Madeleine de Scudéry, née au Havre le 15 novembre 1607 et morte à Paris le 2 juin 1701, est une femme de lettres française. Son œuvre littéraire marque l'apogée du mouvement précieux.
      • h) Gilles Ménage, né à Angers le 15 août 1613 et mort à Paris le 23 juillet 1692, est un grammairien, historien et écrivain français.


      « Secrétaire de Nicolas Fouquet, il est embastillé en 1661 à la suite de la disgrâce de son maître. Il reste incarcéré quatre ans, ayant refusé de renier Fouquet et rédigé un Discours au roi, par un de ses fidèles sujets sur le procès de M. de Fouquet puis Seconde défense de M. Fouquet en sa faveur. Libéré en 1666, il devient historiographe du roi. Son abjuration en 1670 lui obtient de riches bénéfices ecclésiastiques, en particulier le poste très rémunérateur d'abbé de Cluny. [L’ai-je manqué sur la liste des abbés ?] Il apparaît dans les romans de son amie intime Madeleine de Scudéry sous les traits de Herminius et d’Acante. Il était également lié au cousin de Madame de Sévigné, Bussy-Rabutin, qui a dit de lui qu’il était « encore plus honnête homme que bel esprit. » Voltaire l’a décrit comme un « poète médiocre, à la vérité, mais homme très savant et très éloquent. » »


      • i) Nicolas Fouquet, marquis de Belle-Île, vicomte de Melun et Vaux, né en janvier 1615 à Paris, mort le 23 mars 1680 à Pignerol, est un homme d'État français de haut rang, surintendant des finances à l'époque de Mazarin, procureur général au parlement de Paris.
      • j) Marie de Rabutin-Chantal, épouse Sévigné, dite la marquise de Sévigné, née le 5 février 1626 à Paris et morte le 17 avril 1696 au château de Grignan, est une épistolière française.
      • k) Roger de Bussy-Rabutin (13 avril 1618 à Saint-Émiland - 9 avril 1693 à Autun) est comte de Bussy, lieutenant-général des armées du roi Louis XIV, courtisan de la cour de France, philosophe et écrivain épistolaire, pamphlétaire, satirique et libertin et membre de l'Académie française. (Fauteuil 20)


    • 3) Fénelon

      « Précepteur du duc de Bourgogne, archevêque de Cambrai (1695-1715), il s'opposa à Bossuet et tomba en disgrâce lors de la querelle du quiétisme, et surtout, après la publication de son roman, Les Aventures de Télémaque (1699), considéré comme une critique de la politique de Louis XIV. L'influence littéraire de ce roman fut considérable pendant plus de deux siècles. »


      • l) Louis de France (1682 – 1712), duc de Bourgogne, était le fils de Louis de France, le grand dauphin et de Marie Anne Victoire de Bavière.
      • m) Jacques-Bénigne Bossuet (surnommé parfois l'Aigle de Meaux), né le 27 septembre 1627 à Dijon (France) et décédé le 12 avril 1704 à Paris était un homme d'Église, Évêque de Meaux, prédicateur et écrivain français. Certains voient en lui « le plus grand [orateur] peut-être que le monde ait connu. »


      « Dans son enfance Fénelon reçut l'enseignement d'un tuteur au château de Fénelon, qui lui donna une solide connaissance du grec ancien et des classiques. En 1667, à l'âge de seize ans, on l'envoya à l'université de Cahors où il étudia la rhétorique et la philosophie. Quand le jeune homme exprima son attirance pour une carrière dans l'Église, son oncle, le marquis Antoine de Fénelon (ami de Jean-Jacques Olier et de saint Vincent de Paul, il avait participé à la fondation de la Compagnie du Saint-Sacrement dont les principes influenceront profondément son neveu) l'envoya étudier au collège du Plessis, dont les étudiants en théologie recevaient le même enseignement que ceux de la Sorbonne. Il s'y lia avec Louis Antoine de Noailles, qui plus tard devint cardinal et archevêque de Paris. Fénelon montra un tel talent au collège du Plessis qu'il y prêcha avec succès dès l'âge de quinze ans. »


      • n) Jean-Jacques Olier de Verneuil (20 septembre 1608 à Paris - 2 avril 1657 à Paris), dit aussi « Monsieur Olier », était un mystique et un prêtre français. Il a créé le premier séminaire français, à la suite du concile de Trente, a fondé la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice. Sa communauté a participé à l'essor des missions dans les campagnes de France, aux développements des séminaires en France et à l'évangélisation du Canada.
      • o) Vincent de Paul ou Vincent Depaul, né au village de Pouy près de Dax le 24 avril 1581 ou 1576 - mort le 27 septembre 1660, fut une figure marquante du renouveau spirituel et apostolique du XVIIe siècle français, prêtre, fondateur de congrégations qui œuvra tout au long de sa vie pour soulager la misère matérielle et morale. p) Louis Antoine, cardinal de Noailles, est un prélat français, né au château de Peynières à Cros-de-Montvert (Cantal) le 27 mai 1651 et mort à Paris le 4 mai 1729. Il est archevêque de Paris de 1695 à 1729.


      « Pendant ces années-là il faisait partie du cercle qui entourait Bossuet, le fougueux porte-parole de l’épiscopat français. En 1688 il fut présenté à Madame de Maintenon, seconde épouse de Louis XIV. Celle-ci sympathisait à l’époque avec Madame Guyon, femme mystique et pieuse, et avec son quiétisme. Elle l’impressionna profondément quand ils firent connaissance. »


      • q) Madame de Maintenon (née Françoise d’Aubigné le 27 novembre 1635 à la prison de Niort et décédée le 15 avril 1719 à la Maison royale de Saint-Louis de Saint-Cyr-l'École) est une dame française des XVIIe et XVIIIe siècles qui fut l'épouse puis la veuve de Paul Scarron. Par la suite, elle fut titrée marquise de Maintenon. Elle est la fondatrice de la Maison royale de Saint-Louis.
      • r) Jeanne-Marie Bouvier de La Motte, appelée couramment Madame Guyon, née à Montargis le 13 avril 1648, morte à Blois le 9 juin 1717 est une mystique française.


      « L'abbé de Fénelon (1714-1794) était son petit-neveu. On connaît encore au XVIe siècle, dans cette famille, Bertrand de Salignac de Lamothe Fénelon. »


      • s) Jean-Baptiste-Augustin de Salignac Fénelon (1714-1794), abbé de Fénelon, né au manoir de la Poncie à Saint-Jean-d'Estissac en Périgord, était petit-neveu de Fénelon. Il fut aumônier de la reine de France Marie Leczinska, puis dirigea un établissement charitable, fondé pour améliorer le sort des petits savoyards à Paris. Il fut arrêté comme suspect sous la Terreur, et traduit au tribunal révolutionnaire, qui le condamna à mort : tous les savoyards résidant à Paris se rendirent à la Convention pour demander la grâce de celui qu'ils appelaient leur père ; sans succès, Jean-Baptiste-Augustin de Salignac fut guillotiné le 8 juillet 1794. En son honneur le nom d'Asile-Fénelon a été donné à l'établissement charitable de Vaujours (Seine-Saint-Denis), destiné à élever des enfants pauvres au XIXe siècle.
      • t) Bertrand de Salignac de Lamothe Fénélon est un diplomate français. Ambassadeur auprès de la reine Elisabeth Ire d'Angleterre de 1568 à 1575, il appartient à la famille de Fénelon. On a de lui : quelques écrits (Siège de Metz en 1552, Voyage de Henri II aux Pays-Bas, etc.) une Correspondance diplomatique fort instructive, publiée par Alexandre Teulet de 1838 à 1841, 7 volumes in-8.


    • 4) Claude Gros de Boze

      « Il fait ses études à Lyon et à Paris, où il s'établit vers 1700. S'étant acquis le soutien de Nicolas-Joseph Foucault, il devient en 1705 pensionnaire de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, dont il est nommé secrétaire perpétuel l'année suivante. Il est élu membre de l'Académie française en 1715, puis devient en 1719 garde du Cabinet des médailles et antiques, poste qu'il occupera jusqu'à sa mort. Il met au point avec son élève et assistant Jean-Jacques Barthélemy une méthode de classement des médailles et réalise un « inventaire et récolement des médailles, pierres gravées et autres raretés antiques du Cabinet du roy » en 1723. Il est élu membre de l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1727. Claude Gros de Boze est devenu membre de la Royal Society le 6 avril 1749. »


      • u) Nicolas-Joseph Foucault, né le 8 janvier 1643 à Paris où il est mort le 17 février 1721, est un haut fonctionnaire et bibliophile français.
      • v) Jean-Jacques Barthélemy, dit l’abbé Barthélemy, né le 20 janvier 1716 à Cassis en Provence et mort à Paris le 30 avril 1795, est un ecclésiastique, archéologue, numismate et homme de lettres français. … Venu à Paris en 1744 avec une lettre d'introduction pour Claude Gros de Boze, secrétaire perpétuel de l'Académie royale des inscriptions et belles-lettres et garde du Cabinet des médailles au sein de la Bibliothèque du roi, il devient son assistant et entre à l'Académie (fauteil 19) en 1747. En 1753, il prend la succession de Gros de Boze (comme sécretaire, pas sur le fauteil) et conserve ce poste jusqu’à la Révolution. … Pendant la Révolution, en septembre 1793, Barthélemy est arrêté en tant qu’aristocrate et brièvement incarcéré. Le Comité de salut public, aussitôt informé par la duchesse de Choiseul, ordonne sa libération immédiate. La même année, il est nommé conservateur de la Bibliothèque nationale, poste qu'il refuse pour reprendre son ancienne fonction de garde du département des médailles et antiques. Il enrichit encore la collection nationale avec plusieurs acquisitions de valeur. Ayant été spolié de sa fortune par la Révolution, il meurt le 30 avril 1795 dans la plus grande indigence. Le philologue et orientaliste Wilhelm Gesenius a cependant beaucoup contribué à sa gloire à titre posthume en lui donnant raison au sujet de certaines de ses interprétations épigraphiques.


    • 5) Louis de Bourbon-Condé, prince du sang, abbé de Saint-Germain-des-Prés

      « Louis de Bourbon-Condé est le benjamin de Louis III de Bourbon-Condé (1668-1710), prince de Condé, et de Mademoiselle de Nantes (1673-1743). »


      • w) Louis III de Bourbon-Condé, duc de Bourbon, duc de Montmorency (1668-1689) puis duc d'Enghien (1689-1709), puis 6e prince de Condé, comte de Sancerre (1709-1710), comte de Charolais (1709) et seigneur de Chantilly, est un Prince du sang français né à l'hôtel de Condé à Paris le 18 octobre 1668 et mort à Versailles le 4 mai 1710. Il épousa le 24 mai 1685 Louise-Françoise de Bourbon dite Mademoiselle de Nantes, fille légitimée de Louis XIV et de Madame de Montespan.
      • = x) Louise-Françoise de Bourbon dite Mademoiselle de Nantes, duchesse de Bourbon puis princesse de Condé, est une aristocrate française née le 1er juin 1673 à Tournai et morte le 16 juin 1743 à Paris.

        Il en eut :

        • y) Marie-Anne-Gabrielle-Éléonore (1690-1760), abbesse de Saint-Antoine-des-Champs ; z) Louis-Henri (1692-1740), futur prince de Condé ;
        • aa) Louise-Élisabeth (1693-1775), Mlle de Charolais à sa naissance, puis Mlle de Bourbon en 1707, qui épousa en 1713 Louis-Armand de Bourbon-Conti (1695-1727) ;
        • bb) Louise-Anne (1695-1758), dite Mlle de Sens puis Mlle de Charolais à partir de 1707;
        • cc) Marie-Anne (16 octobre 1697–11 août 1741), Mlle de Clermont ;
        • dd) Charles (1700-1760), comte de Charolais, pair de France ;
        • ee) Henriette-Louise (14 janvier 1703–19 septembre 1772), dite Mlle de Vermandois, abbesse de Beaumont-lès-Tours en novembre 1733 ;
        • ff) Élisabeth-Alexandrine (16 septembre 1705-15 avril 1765) dite Mlle de Gex à sa naissance puis Mlle de Sens à partir de 1707 et a vendu au roi le comté de Charolais dont elle a hérité avec un échange de terres à Palaiseau en 1760 ;
        • [Louis (1709-1771), comte de Clermont-en-Argonne.]


      « En 1729, il fonda l’Académie du Petit-Luxembourg, dans l'hôtel du Petit Luxembourg, où se réunissaient des savants et des artistes comme les architectes Jean Aubert, Germain Boffrand, Jean-Michel Chevotet ou Pierre de Vigny. »


      • [gg) Jean Aubert, dit Aubert aîné, est un architecte français né vers 1680 et mort à Paris en 1741.]
      • hh) Germain Boffrand, né à Nantes le 16 mai 1667, mort à Paris le 19 mars 1754, est un architecte français.
      • ii) Jean-Michel Chevotet (11 juillet 1698 à Paris – 4 décembre 1772 à Paris), est architecte du roi et de la première classe de l'Académie royale d'architecture, jardinier français de l'école de Le Nôtre, et spécialiste de l'hydraulique.


      « En 1733, il devint l'amant de la danseuse de l'Opéra Marie-Anne de Camargo dont il fit une véritable esclave. Lassée, celle-ci dit-on pousse sa condisciple Élisabeth Leduc dans les bras du comte. Il devient l'amant de cette dernière en 1741. »


      • jj) Marie-Anne de Cupis Camargo, dite la Camargo, est une danseuse née à Bruxelles le 15 avril 1710 et morte à Paris le 28 avril 1770.
      • kk) Marie Élisabeth Claire Leduc, marquise de Tourvoie, est une danseuse de l'Académie royale de musique de Paris, née à Paris vers 1720, où elle est décédée en 1792 (ou début 1793), âgée d'environ 72 ans.


      « En 1743, il succède au duc d'Antin à la tête de la franc-maçonnerie française, en tant que « Grand Maître de toutes les loges régulières de France ». » !

      « Il est l'ami de Madame de Pompadour, dont il portait la cocarde en montant au feu. »


      • ll) Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars, née le 29 décembre 1721 à Paris et morte le 15 avril 1764 à Versailles, est une dame de la bourgeoisie française devenue favorite de Louis XV, roi de France et de Navarre.


      « Il vivait avec Mlle Élisabeth Claire Leduc, danseuse de l'Opéra, au château de Berny à Fresnes, résidence de campagne des abbés de Saint-Germain-des-Prés, et contracte avec elle un mariage secret en 1765. Il en eut deux enfants naturels, l'abbé Leduc (1766-1800), qui porta le titre d'Abbé de Vendôme, et une fille (née en 1768). Il lui acheta la seigneurie de Tourvoie à Fresnes à proximité du domaine de Berny, pour pouvoir avoir un peu de liberté et lui rendra ses hommages pendant trente années à l'occasion de ses loisirs. Le Château de Tourvoie et le Château de Berny était relié par une galerie souterraine. »


      • mm) l'abbé Leduc (1766-1800)


    • 6) Pierre-Laurent de Belloy, dit Dormont de Belloy, de son vrai nom Pierre-Laurent Buirette

      « Pierre-Laurent Buirette était le fils d'un receveur général des tabacs de Saint-Flour. Âgé d'environ cinq ans, il alla à Paris avec son père, qui mourut dans la capitale. L'enfant, qui ne devait jamais revoir sa mère, fut confié à la tutelle d'un oncle avocat qui lui fit faire ses études au Collège Mazarin et le destinait au barreau. Mais le jeune homme voulait être comédien ce que l'oncle, probablement janséniste, prit si mal qu'il fit décerner une lettre de cachet contre son neveu. Ce dernier résolut alors de quitter la France : il se joignit à une troupe de comédiens avec laquelle il partit en tournée dans les cours du Nord de l'Europe. C'est alors qu'il écrivit aux siens pour qu'ils le missent « au rang des morts », déclara renoncer à sa part d'héritage et changea de nom pour prendre celui de Dormont de Belloy. »

      « Il fit carrière comme acteur en Russie et se fit apprécier par l'impératrice Élisabeth. C'est à Saint-Pétersbourg que fut créée sa première pièce, Le Triomphe de l'amitié (1757), imité de Métastase. De retour à Paris après la mort de son oncle en 1761, il subit un échec avec Titus … En revanche, Dormont de Belloy connut un certain succès avec Zelmire (1762), tragédie également imitée de Métastase, dans laquelle Mlle Clairon donna toute la mesure de son talent. »


      • nn) Élisabeth Petrovna (en russe : Елизавета Петровна, Ielizaveta Petrovna), dite Élisabeth la Clémente (née à Kolomenskoïe le 29 décembre 1709 du calendrier grégorien ou 18 décembre 1709 du calendrier julien et morte à Saint-Pétersbourg le 5 janvier 1762 du calendrier grégorien ou 25 décembre 1761 du calendrier julien), est une impératrice de Russie qui régna de 1741 à 1762 sous le nom d'Élisabeth Ire.
      • oo) Pietro Trapassi, dit Pietro Metastasio, connu aussi sous le nom de Métastase, né à Rome le 3 janvier 1698 et mort à Vienne en Autriche le 12 avril 1782, est un librettiste d'opéra et poète italien.
      • pp) Claire-Josèphe Léris, dite Mademoiselle Clairon, ou encore la Clairon, est une actrice française née à Condé-sur-l'Escaut le 25 janvier 1723 et morte à Paris le 29 janvier 1803.


      « Sa première pièce patriotique, Le Siège de Calais, deux ans après la fin de la Guerre de Sept Ans, triompha en 1765, après un début hésitant et en dépit des réserves de Diderot et de Voltaire, qui firent valoir que cette tragédie n'ajoutait rien à la gloire de la France. »


      • qq) Denis Diderot, né le 5 octobre 1713 à Langres et mort le 31 juillet 1784 à Paris, est un écrivain, philosophe et encyclopédiste français des Lumières, à la fois romancier, dramaturge, conteur, essayiste, dialoguiste, critique d'art, critique littéraire, et traducteur.
      • rr) François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris, ville où il est mort le 30 mai 1778 (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale.
      • [Les deux évidemment sur l’index des livres prohibés, au moins en plusieurs œuvres]


      « La pièce fut jouée à la Comédie-Française le 13 février 1765 avec un succès extraordinaire. « On est réputé mauvais patriote pour oser élever la voix », observait Bachaumont dans ses Mémoires secrets. Louis XV demanda à voir la pièce, qui fut représentée à la Cour le 21 mars. Peu avant, le 12 mars, une représentation gratuite fut donnée pour le peuple à la Comédie-Française, avec un très grand succès, conforté il est vrai par le « ballet patriotique » ajouté à la fin du spectacle et les pièces d'or et les rafraîchissements distribués à la foule par les acteurs et les actrices. En province, dans les villes de garnison, des représentations spéciales furent données pour la troupe. Calais fit l'auteur citoyen d'honneur tandis que le Journal des Savants signalait que le gouverneur de Saint-Domingue avait fait imprimer la pièce pour la distribuer gratuitement. Seul le duc d'Ayen, avec son esprit habituel, osa dire au Roi : « Je voudrais que le style de la pièce fût aussi bon français que moi. » La pièce célèbre « cet amour tendre... qui dans le souverain adore la patrie ». »


      • ss) Louis Petit de Bachaumont, né le 2 juin 1690 à Paris où il est mort le 29 avril 1771, est un écrivain français. … Selon les dernières recherches, il semblerait qu’il ne soit que le prête-nom des célèbres Mémoires secrets et que le véritable rédacteur en soit Pidansat de Mairobert.
      • tt) Mathieu-François Pidansat de Mairobert, né le 20 février 1727 à Chaource et mort le 27 mars 1779 à Paris, est un littérateur polygraphe français.
      • uu) Louis de Noailles, comte d'Ayen puis (1737-1766) 1er duc d'Ayen puis (1766) 4e duc de Noailles, marquis de Montclar et de Maintenon, comte de Nogent-le-Roi, baron de Chambres, est un maréchal de France, né à Versailles le 21 avril 1713 et mort à Saint-Germain-en-Laye le 22 août 1793. … En 1789, il est nommé gouverneur du Château de Saint-Germain-en-Laye. Lorsque la Révolution française éclate, il refuse d'émigrer et meurt de vieillesse avant que la Terreur n'atteigne son apogée, ce qui lui permet d'échapper à la guillotine. Sa veuve, âgée de 70 ans, sera en revanche guillotinée le 4 Thermidor, en même temps que leur bru, la duchesse d'Ayen, et que leur petite-fille, la vicomtesse de Noailles. … The duc's widow, granddaughter, and daughter-in-law were guillotined on 22 July 1794, twenty-five days after the duc's brother and sister, sister-in-law, their daughter-in-law, and niece were guillotined. Another granddaughter, Adrienne, wife of the Marquis de LaFayette, was saved due to the efforts of James Monroe, then-America's Minister to France. Adrienne and the Marquis are buried with the Noailles and the other nobles who fell to the guillotine at Picpus Cemetery. … (un peu avant :) Fils du maréchal
      • vv) Adrien Maurice de Noailles (1678-1766) et de la
      • ww) duchesse née Françoise Amable d'Aubigné (1684-1739), il épouse le 25 février 1737
      • xx) Catherine Françoise Charlotte de Cossé-Brissac (1724-1794), fille aînée du 6e duc de Brissac. Ils ont quatre enfants [xx bis – aaa] :
      • xx bis) Jean Louis Paul François de Noailles (1739-1824), duc d'Ayen puis duc de Noailles ;
      • yy) Adrienne Catherine de Noailles (1741-1814), qui épouse (1755) René Mans de Froulay (†1814), comte de Tessé ;
      • zz) Emmanuel Marie Louis de Noailles (1743-1822), comte de Noailles, dit le marquis de Noailles et de Maintenon ;
      • aaa) Philippine Louise Catherine de Noailles (1745-1791) qui épouse (1763) Louis Antoine Armand de Gramont, duc de Lesparre (†1795).


  • Statistiques pour la liste IV.
      3346 : 50 = (presque) = 335 : 5 = L (33 – 25 = 8) X (8 – 5 = 3, 35) V (35 – 25 = 10) II (10=10), donc moyenne à 66 presque 67 ans.
    • Minimum 30, quartile basse 55, médiane entre 70 et 71, quartile haute 80 et maximum 93.

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